Gab Roy dénonce l’intimidation de Mariloup Wolfe
Note – Vous pouvez consulter notre plus récent article sur le sujet ici: Gab Roy nommé personnalité de l’année par l’Union des Artistes
Internet – Le célèbre douchebag et blogueur inconnu qui a récemment écrit un texte violent, obscène et misogyne sur Mariloup Wolfe vient de publier un communiqué afin de dénoncer la mise en demeure qu’il a reçue de cette dernière.
«C’est de l’intimidation pure et simple! Cette [censuré] de [censuré] exagère! Juste parce que j’ai dit que je voulais la [censuré] et lui [censuré] dans la face, j’ai dû retirer mon texte et le remplacer par une vidéo dans laquelle je pleure comme un caniche. Là, en plus d’avoir l’air d’un con devant mes fans, j’ai perdu mes commanditaires. Franchement, si on a plus le droit de dire qu’une femme est une [censuré] de [censuré], dans quel monde on vit, je vous le demande!»
Lorsque contacté par La Pravda pour expliquer certains mots du communiqué, inconnus par les linguistes, l’homme qui ferait passer un enfant de 6 mois pour un prix Nobel de l’intelligence, a bien tenté de se défendre en invoquant qu’il passe pourtant la majorité de son temps à rire «des fifs, des mondes suicidaires pis des [censuré] de femmes» alors, il ne comprend pas la réaction de Mariloup à son endroit.
L’homme qui se prétend humoriste affirme d’ailleurs avoir reçu «des treizaines» de courriels de soutien, dont l’un d’eux, signé par la députée Christine St-Pierre, qui s’est dit «en beau tabarnack» de la réaction des gens devant ce texte «crissement pas déplacé.»
Se disant victime d’intimidation, Gab Roy espère maintenant que «la [censuré] va retirer sa plainte» et que le calme reviendra. «Les gens qui réagissent à mes propos haineux et vulgaires doivent apprendre à faire preuve de tolérance… C’est une simple question de respect et de savoir-vivre» affirme-t-il.
NOTE DE LA RÉDACTION: Ce texte se veut une critique à tous les comportements douteux que certains justifient au nom de de la libârté. À cet égard, La Pravda vous invite à faire un don à la Fondation Jasmin Roy, qui lutte contre la discrimination et l’intimidation.