Bombardement en Syrie : Le FBI privilégie l’hypothèse du loup solitaire à la tête de la Maison-Blanche
Washington – Le Federal Bureau of Investigation (FBI) a annoncé dimanche qu’il continuait de privilégier la piste du président des États-Unis solitaire dans son enquête visant l’arrestation du responsable de l’agression de jeudi dernier en Syrie.
« On parle, ici, d’un individu extrêmement instable, dont les publications sur les médias sociaux nous laissent croire qu’il s’est passablement radicalisé au cours de la dernière semaine », explique Dick McBalls, le directeur adjoint du FBI.
Souvent décrit comme étant un « [censuré] de malade mental » par ses proches, le principal suspect serait également un « véritable fanatique religieux », passionné par l’armement et « complètement acccro » à la chaîne de désinformation continue FOX News.
« Il a vraiment le profile typique de ce genre de criminel » affirme l’homme de loi, ajoutant du même souffle qu’il ne serait pas surpris de le voir récidiver bientôt s’il n’est pas rapidement arrêté.
L’aide du public
Inquiet de voir le criminel de guerre échapper à la justice, comme c’est souvent le cas pour les présidents américains, Dick McBalls compte sur la collaboration du public pour le retrouver.
« On sait qu’il se cache quelque part, à Washington, probablement entouré de journaliste et de garde du corps, préparant méticuleusement son prochain attentat dans le silence intellectuel de la propagande patriotique, qui lui sert de couverture », image-t-il, rappelant à la population de redoubler de prudence avec son chef d’État.
« Ce type est à la fois tellement con et tellement dangereux, qu’il est bien capable d’ordonner une frappe nucléaire contre Siri de Apple, en pensant bombarder une ville syrienne. Alors, méfiez-vous! », conseillent les autorités.
Aux dernières nouvelles, la majorité des Américains qui accusaient le nouveau président d’être une menace pour la paix mondiale commençaient tranquillement à se ranger derrière lui, maintenant qu’il bombarde la démocratie outremer.
