Toujours dans le déni, La Presse continue de croire que c’est un journal respecté
Montréal – L’histoire dure depuis longtemps déjà et la liste des malaises causés par La Presse et sa totale perte de contact avec la réalité rend les Québécois de plus en plus inconfortables.
Alors qu’une majorité de citoyens continuent de jouer le jeu afin de ne pas blesser les quelques journalistes sérieux qui y travaillent, de nombreux Québécois se sentent de plus en plus coupables de participer indirectement à ce qui a toutes les apparences d’une psychose.
«Le fait d’encourager le délire de ce publisac du parti libéral, en l’appelant un journal, par exemple, ne fait que le conforter dans sa démence», explique Pierre Hébert, responsable du département des troubles de la personnalité, à l’institut universitaire en santé mentale de Montréal.
«Il faut confronter constamment les employés de La Presse avec des exemples précis de leurs délires et souhaiter que le choc brutal avec la réalité puisse les amener à réfléchir sur le rôle qu’ils jouent dans les nombreux problèmes de société que cause la désinformation», explique l’homme de science.
Le chemin de la guérison
Comparant les employés de La Presse à des victimes atteintes du syndrome de Stockholm, Benoit Bourguignon, un éminent psychiatre Français, recommande plutôt d’agir prudemment avec ceux-ci afin de ne pas les voir s’enfoncer davantage dans l’aliénation.
«Certains d’entre eux ne réalisent même pas qu’ils travaillent pour le bras médiatique du Parti libéral. Ils se disent hey, j’ai le droit d’écrire ce que je veux et semblent ignorer complètement qu’ils ne servent qu’à projeter une apparence de divergence d’opinions», décrit-il.
Proposant de mettre sous médication et d’isoler pour une période indéterminée les employés «les plus gravement atteints», monsieur Bourguignon croit que la meilleure chose à faire pour le reste de la population est de «connaître et comprendre» les risques inhérents à la lecture d’une telle propagande.
«Le danger avec ce genre de produit, c’est qu’il est vendu comme étant un journal sérieux. La meilleure chose à faire reste donc de s’en tenir le plus loin possible en attendant qu’il subisse un traitement et s’affiche enfin pour ce qu’il est réellement : de la propagande politique déguisée en information», conclut-il.