Stéphane Gendron est décédé… en 2003!
C’est le docteur Brian Pierce-Fergusson de Toronto qui a tiré publiquement la sonnette d’alarme, et ce malgré un interdit du SPVM qui était au courant depuis plusieurs années. « […] il est essentiel, a expliqué le docteur Fergusson, que nous soyons transparents à ce sujet. Stéphane Gendron n’est plus!
Ce qu’on appelle Stéphane Gendron, aujourd’hui, est en fait un oligodendrogliome anaplasique de grade III qui a gardé la forme humaine de son hôte et est devenu intelligent. »
Ce qui a d’abord été reçu comme du plus haut farfelu, notamment par le Collège des Médecins, s’est avéré rapidement exact. Les oncologues Viau, Hornet et Kaprisky de l’hôpital Général de Montréal ont confirmé l’alerte du docteur Fergusson.
Selon la contre-analyse, l’oligodendroglione anaplasique de grade III est une tumeur dendroglione à division très rapide qui a la particularité de dévorer la chair qu’elle investit à raison d’un pour un en volume, se substituant carrément à la chair de la victime.
Ces nouvelles données nous permettent de situer aux alentours de 2003 le moment où le dendroglione se serait attaqué à Stéphane Gendron.
Fin 2003, il laisse ce message manuscrit plutôt bizarre à sa femme : « Il est odieux. Il prend le dessus. Je vais tout faire pour l’empêcher. Je pars me jeter dans le fleuve. Adieu. » Selon toutes les apparences, Gendron n’a jamais eu le temps de se rendre au rivage.
« Il est devenu bizarre, se souvient un directeur de programme de la défunte chaîne de télévision TQS qui a préféré garder l’anonymat. Il me téléphonait en pleine nuit pour me traiter de pédé, il laissait des messages orduriers sur les répondeurs de tout le monde… On a tous su qu’il se passait quelque chose. Mais bon… J’ai tout de suite compris que le public adorerait alors j’ai poussé pour qu’il ait son émission à TQS. »
Selon certaines sources, il aurait menacé en 2012 de phagocyter l’ASSÉ au complet et ce n’est qu’après une négociation serrée avec le SPVM qu’il aurait abandonné son projet. L’armée canadienne, qui a pris le relai sur le dossier, a émis un avis de danger quant à l’apparente personne de monsieur Gendron, la décrivant comme insensible aux balles, au feu, à l’électricité et à l’acide, adversaire de type 6 : à éviter à tout prix.
Malgré notre insistance, le SPVM s’est refusé à tout commentaire.