Pourritures, détritus et André Arthur… La radio de Québec est insalubre dit le MAPAQ
Québec – Les inspecteurs du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) affirment avoir remis plus de 500 constats d’infraction aux radios de Québec, depuis janvier 2017.
« Lors d’une inspection, je suis tombé face à face avec un restant de Nathalie Normandeau qui traînait au milieu d’un studio d’enregistrement. Et elle animait l’émission, en plus! Vous imaginez le genre de propos impropres à la consommation que ces établissements-là diffusent », s’indigne Julien Tessier, inspecteur pour le MAPAQ depuis plus de dix ans.
« Des discours passé date de Jeff Fillion, aux idées insalubres d’Éric Duhaime, en passant par les ordures auditives de Sylvain Bouchard, les cas d’intoxication intellectuels battent des records dans cette ville », poursuit-il.
Réclamant des sentences plus strictes pour les propriétaires de stations qui s’enrichissent, année après année, au détriment de la santé mentale des auditeurs, Julien Tessier dresse un triste portrait de la situation.
« Pas plus tard que lundi dernier, André Arthur invitait les Québécois à utiliser leur voiture pour écraser les cyclistes qui roulent l’hiver… André Arthur, [censuré]! Mais comment diable cet excrément sénatorial peut-il encore souiller les ondes en 2017 », se demande l’inspecteur.
Mes taxes, mes taxes, mes taxes
Usant du langage et d’arguments qui ressemblent à ceux d’une personne dont la cervelle a foutu le camp, l’animateur Dominic Morais a contacté La Pravda pour l’affliger de son analyse.
« Moé, là… les affaires de tenir des discours d’la gau-gauche du plateau, payés avec mes taxes, à Radio-Canada. Ben ça passe pas dedans l’intérieure de mon show. C’tu clair! Pis c’pas vrai que le vrai monde veut que je fasse pour. C’est mes taxes qui payent ça. MES taxes », a-t-il brillamment exposé.
Dénonçant l’acharnement du MAPAQ dont il se dit victime, Dominic Morais réclame la « libâââârté d’expression ».
« Si moi, je veux dire n’importe quoi, sans réfléchir aux conséquences avant de parler, j’ai tu le droit de le faire à », demande-t-il.