PKP ne se nourrit que de bébés chats, révèlent nos sources
St-Jérôme – Plusieurs sources nous ont récemment confié que le candidat à la chefferie du Parti Québécois (PQ) Pierre-Karl Péladeau ne s’alimente que de bébés chats.
Faisant écho aux nombreuses rumeurs qui circulent sur les Médias sociaux, à ce sujet, l’un de nos informateurs nous a même avoué qu’il est « théoriquement possible » que cette situation soit connue de l’entourage du célèbre député.
« C’est quand même quelque chose de pas banal. S’il le fait vraiment, ses proches ont dû le remarquer. Alors, pourquoi continuent-ils de se taire sur le sujet », demande-t-il, évoquant du même souffle le « règne de terreur » potentiel auquel doivent se soumettre les proches de M. Péladeau.
Dans la circonscription de St-Jérôme, aucune des personnes que nous avons interrogées n’a pu démontrer preuve à l’appui que le magnat de la presse ne mange jamais de bébé chat. « C’est certain que cela donne des munitions à ceux qui le croit capable de faire ça », admet son attaché de presse, bafouillant du même souffle que : «Monsieur Péladeau […] est […] Mauvaise personne ».
Une information confirmée par Pierre Céré, l’un des adversaires de PKP au PQ, qui évoque même des « sacrifices humains » lors de « grandes messes noires » au cours desquelles certains militants sont offerts à Satan.
«Je l’ai vue souvent murmurer des incantations sataniques, lors de la période de questions à l’Assemblée nationale et je sais que je ne suis pas le seul », ajoute-t-il.
Des propos que tiennent également des proches de Martine Ouellet. « C’est quand même étrange que personne ne puisse se rappeler avoir vu PKP et Satan dans la même pièce, en même temps. Je ne dis pas qu’il s’agisse de la même personne, mais on est en droit de se poser la question », affirme l’un d’eux.
Rejoint par téléphone afin de répondre à ces accusations, le député de St-Jérôme a plutôt choisi de faire comme s’il n’était pas là, laissant son répondeur se débrouiller seul avec le scandale. « Désolé, mais la boîte vocale de cette personne est pleine », a prétexté la machine lors de notre douzième appel, donnant l’impression que M. Péladeau a fait preuve d’intimidation à son endroit pour l’empêcher de collaborer avec La Pravda.
Aux dernières nouvelles, plusieurs journalistes de La Presse partageaient frénétiquement cette nouvelle, en offrant une récompense de 250 000$ pour le témoignage « presque crédible » d’une personne qui accepte de répéter ces accusations dans ses pages.