Les États-Unis bombardent la démocratie en Irak
Washington – Dans le but évident d’apaiser les tensions entre les jihadistes et le Kurdistan irakien, le président américain Barack Obama vient d’annoncer un bombardement intensif de la démocratie en Irak.
Se disant «déçu» d’apprendre que les Irakiens avaient encore brisé la belle démocratie que les Américains leur ont donné en 1990 et en 2003, le président a donc décidé de lancer une vaste offensive aérienne ce matin et d’y bombarder la démocratie «une bonne fois pour toutes».
«J’ai personnellement demandé à nos amis de Lockheed Martin d’établir une stratégie afin d’assurer le maintien de la paix en Irak et ces derniers m’ont assuré que de bombarder le pays au 13 ans est la meilleure façon d’y parvenir», souligne le 44e président des États-Unis.
Des journalistes peu convaincus
Sceptiques face à l’opération militaire baptisée «democraty fuck yeah» par le pentagone, certains journalistes ont questionné la légitimité de dépenser l’argent des contribuables dans l’armement alors, que certaines villes comme Détroit frôlent la faillite.
«C’est vrai que plusieurs de nos citoyens vivent dans la pauvreté, mais au moins ils sont libres de le faire. C’est d’ailleurs cette liberté que nous voulons offrir aux Irakiens en leur offrant toute l’aide que la guerre est en mesure d’apporter», répondit le secrétaire à la défense Chuck Hagel qui venta ensuite durant de longues minutes, la chance de pouvoir «dormir sous les ponts» et l’incroyable liberté de «faire les poubelles» pour se nourrir.
Au moment de publier notre article, le gouvernement américain annonçait qu’un bombardement d’importance était également prévu en Maladie afin d’enrayer l’Ebola.