Kim Jong-Un menace de financer une tournée mondiale de Nickelback
Corée du Nord – Pyongyang affirme être prête à financer une tournée mondiale du groupe de musique Nickelback pendant dix ans si la communauté internationale s’entête à mettre en place des sanctions contre ses programmes balistique et nucléaire.
« On frôle carrément la catastrophe! Si le leader nord-coréen met sa menace à exécution, cela pourrait bien signifier la fin du monde tel que nous le connaissons », analyse Sami Aoun, membre du Comité consultatif sur la sécurité nationale du Canada.
Affirmant que les plus grandes puissances militaires de la planète seraient « incapables » de riposter à une attaque aussi violente, M. Aoun invite la population à se préparer au pire.
« Rassemblez des provisions, abandonnez vos maisons et courez vous réfugier dans les bois avant qu’il ne soit trop tard. Personne ne peut survivre à dix ans de Nickelback. Personne ! Nous sommes tous condamnés ! », a hurlé le brillant politicologue, avant de s’enfuir en courant.
« Puis je vis monter des plaines une Bête, qui avait quatre microphones et quatre têtes, et sur ses microphones quatre diadèmes, et sur ses têtes des noms de blasphème. La Bête que je vis était semblable à un groupe de saoulons qui chantent dans les soirées karaoké d’un bar de région » – Apocalypse 13, 1-9
Véritable cataclysme musical, une tournée mondiale du célèbre groupe canadien ferait « entre 6 et 7 milliards » de victimes, selon les estimations de Washington.
« Le plus inquiétant c’est qu’un décès par surexposition aux chansons de Nickelback ne se passe pas en douceur. C’est quelque chose de lent et d’extrêmement douloureux. Vous pouvez me croire, les personnes touchées accueilleront la mort comme une délivrance », explique un représentant du Centers of Decease Control and Prevention (CDC) américain.
« On a plus d’autres choix. Faut rendre les armes et se soumettre immédiatement à la volonté du dictateur nord-coréen pendant qu’on a encore une chance d’éviter l’irréparable », conseille-t-il.
Aux dernières nouvelles, Donald Trump se disait « très préoccuper » par la situation et promettait d’aller bientôt jouer au golf pour se changer les idées, pendant que Justin Trudeau s’interrogeait sur les conséquences de l’apocalypse sur sa popularité dans les médias.