5 façons d’apprécier les déclarations d’Yves Bolduc

Qui n’a jamais rêver d’entendre une déclaration d’Yves Bolduc sans éprouver le besoin vicéral de frapper dans un mur, en espérant que la douleur d’une fracture au poignet vous aide à oublier ce que vous venez de vivre ou de simplement sauter en bas d’un pont en criant «ce monde est trop minable. J’abandonne»?

Aussi, afin de vous prévenir de ce type de solution de dernier recours, La Pravda vous offre une série de trucs et astuces pour garder votre calme en écoutant ce bouffon dire n’importe quoi.

1 – Insérez un objet contondant dans vos yeux et vos oreilles, puis exercez une forte pression. Évidemment vous deviendrez instantanément sourd et aveugle, mais c’est un petit prix à payer pour être libéré de ces déclarations débiles. Bonus : Cela fonctionne également pour Sam Hamad.

2 – Faites du Crack. Les drogues comme le Crack ou l’héroïne sont des moyens simples, mais efficaces de comprendre notre ministre de l’Éducation. Bonus : Après quelques «séances», vous pourriez même commencer à atteindre le niveau intellectuel d’un auditeur de Radio X et vous désintéresser totalement de la politique.

3 – Transformer ce pénible moment en jeu. Chaque fois que vous entendez Yves Bolduc dire quelque chose de stupide, ingurgitez un shooter de Rhum. Après quelques phrases, la douce et agréable sensation d’ivresse vous aidera à tolérer ce que vous venez d’entendre. Note : S’il se passe quelques heures sans déclarations ridicules d’Yves Bolduc, c’est qu’il ne parle pas. Soyez patient et attendez. Dès qu’il ouvrira la bouche, la débauche est garantie!

4 – Soyez indulgent. Pensez à tous ces enfants qui sombrent dans le crime et qui n’ont d’autre choix que de finir leurs jours en prison. En devenant ministre, Yves Bolduc peut maintenant servir d’exemple à toutes ces crapules qui ont aujourd’hui ;a possibilité de devenir, un jour, ministre de l’Éducation.

5- Soyez philosophe. Dites-vous que les choses pourraient être pire. Par exemple, il vous suffit de penser à la façon dont Yves Bolduc occuperait ses journées s’il n’était pas ministre. Voudriez-vous vraiment d’un tel médecin pour s’occuper de votre vieille mère malade? Poser la question c’est y répondre.