Le référendum, maintenant sur la liste des criminels canadiens les plus recherchés
Ottawa – Le Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS) vient de publier un communiqué afin d’informer la population que le référendum serait présentement «activement» recherché par les autorités et qu’il est désormais «interdit de séjour» au Canada.
Le SCRS recommande également aux politiciens de protéger la démocratie contre les «dérives» potentielles que peut causer le fait de consulter la population et invite tous les citoyens qui possèdent des renseignements permettant la capture du fugitif à communiquer immédiatement avec le Parti libéral.
«Depuis le temps que je vous dis que le référendum est un véritable danger public! Je pense que maintenant, plus personne ne peut douter de mes mensonges» a déclaré Philippe Couillard, l’un des premiers politiciens à avoir mise en garde la population contre les risques de cette pratique démocratique.
Rejointe par téléphone, Pauline Marois, chef du Parti Québécois et amie de longue date du criminel, a refusé de commenter la nouvelle. Elle s’est contentée de dire qu’elle n’avait eu «aucun contact» avec le référendum depuis 1995 et qu’elle n’avait pas l’intention de le revoir «bientôt».
Aux dernières nouvelles, la communauté anglophone, l’une des nombreuses victimes d’intimidation référendaire, appelait tous ses membres à participer à une battue dans les villes du Québec afin de «débusquer» et «capturer l’indésirable créature».