La NASA annonce son intention de polluer une nouvelle planète

Washington – La NASA a convoqué les journalistes ce matin afin d’annoncer le lancement d’une série de fusées ayant pour mission de polluer une nouvelle planète, qui serait «très similaire à la terre», selon les scientifiques.

Découverte par le télescope Kepler, le saccage environnemental de cette nouvelle planète permettra de savoir si oui ou non, la vie humaine y est possible.

«Détruire l’écologie d’une planète aussi lointaine est un véritable défi scientifique. Il s’agit sans l’ombre d’un doute de la plus importante mission jamais confiée à l’agence, mais nous sommes sûrs d’y arriver. Notre rêve de polluer un nouveau monde va enfin devenir une réalité», a déclaré Alice Bowman, la chef du projet, déclenchant une explosion de joie parmi ses collègues.

Pour accomplir cette tâche colossale, les États-Unis, la Russie, la Chine, l’Angleterre et la France ont réuni la somme de 375 milliards de dollars, prélevée à même les fonds destinés à l’aide humanitaire pour l’Afrique, qui serviront à financer la construction d’une centaine de fusées.

Le Canada fera sa part

Refusant d’être laissé de côté, le premier ministre canadien Stephen Harper a offert de fournir une partie des déchets nécessaire à la pollution de la fameuse planète visée par la mission spatiale.

«Ce sera un grand honneur pour le Canada de savoir que ses déchets nucléaires et son pétrole sale serviront à polluer une nouvelle planète», a commenté Leona Aglukkaq, la ministre de l’Environnement.

En outre la ministre a également affirmé que les réserves de pollution canadienne sont «suffisantes» pour ne pas devoir craindre une pénurie et qu’au besoin, le pays serait capable d’augmenter sa production.

Le lancement de la première fusée est prévu pour l’année 2017 et la destruction totale de la planète pour 2030 «si tout se passe normalement», a précisé la NASA.

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