André Pratte quitte La Presse pour danser dans un club XXX
Sagard – Après des années passées à occuper le poste d’éditorialiste en chef du journal La Presse, André Pratte annonce aujourd’hui qu’il démissionne de ses fonctions afin de devenir stripteaser.
Déclarant que son expérience chez Gesca l’aidera «sans aucun doute» à connaître une «formidable» carrière dans l’univers des danses à 10$, André Pratte ne ferme pas la porte à offrir plus tard des massages «complets» à ses clients si tout se passe comme prévu.
«J’en avais assez de devoir constamment me soumettre aux boss… Tant qu’à vendre mon cul pour une pognée de dollars, je préfère le faire dans un environnement où c’est moi qui décide jusqu’où je suis prêt à aller», explique-t-il.
Visiblement heureux et soulagé d’avoir choisi d’abandonner le monde des médias pour celui des danses érotiques, l’ex-éditorialiste en chef de La Presse est conscient que tout ne sera pas qu’une partie de plaisir.
«C’est évident que certain soir, je vais faire face aux demandes déplacées et répétées de mes clientes, qui me considèrent comme une prostituée… Mais c’est quand même rien comparé à mon ancienne carrière dans laquelle, je n’avais pas l’option de dire non à ceux qui payaient mon salaire», explique-t-il.
«Vendre son corps pour faire du cash, c’est une chose, mais y a rien de plus dégradant, selon moi, que de vendre son intégrité intellectuelle, en devenant la bitch du parti libéral», se désole Pratte, invitant du même souffle ses ex-collègues à suivre son exemple.
«Pour un p’tit extra, j’ai récemment décidé de laisser une gang de femmes d’affaires complètement folles m’introduire des objets énormes dans le postérieur. J’en croyais pas mes yeux lorsqu’elles ont d’abord décidé d’utiliser du lubrifiant. En près de 30 ans passer à subir le même sort à La Presse, je n’avais jamais vécu ça! C’est vraiment plus agréable», souligne-t-il.
Souhaitant bonne chance à tous les éditorialistes de Gesca qui prendront sa relève à La Presse, André Pratte espère maintenant vivre simplement dans la déchéance, l’humiliation et criminalité «modérée» afin d’oublier les heures sombres passer derrière son ordinateur.