Couillard entre la vie et la mort! Les députés réclament un registre public des boules de papier

Montréal – Tout le Québec retient son souffle, au lendemain du terrible attentat à la boule de papier ayant pratiquement décapité Phlippe Couillard, l’invité d’honneur d’un rassemblement dédié à la mémoire des victimes de la tuerie d’Orlando.

Cible d’un terroriste-transgenre lourdement armé d’une feuille de papier létale, le premier ministre aurait « pratiquement été touché » par un projectile mortel, selon nos collègues de l’agence de désinformation continue de la SRC.

« Je n’arrive pas à y croire… [pleure] C’est un véritable miracle s’il survit… Le plus beau et le plus grand d’entre nous… [Pleure] Pourquoi, seigneur! Pourquoi lui! », rageait Sam Hamad, qui a généreusement appelé notre rédaction quelques secondes après l’attentat afin de faire connaître son intention de reprendre son poste de ministre « immédiatement » par solidarité pour celui qu’il surnomme affectueusement le mahatma Couillard.

Un crime contre la démocratie

En s’attaquant à l’image même de l’intégrité, symbole puissant de la justice sociale et de l’amour infini, ce n’est pas seulement le premier ministre du Québec qui fut la cible d’un maniaque, hier soir, c’est tous les Québécois qu’on a tenté d’assassiner, estiment les experts.

« On ne parle pas d’un professeur qui se moque de l’accent italien, là… Tuer et jeter le coupable, je ne sais où n’est pas suffisant. Moi, je dis qu’on devrait le torturer, lentement, très lentement, avant de massacrer toute sa famille et de souiller la tombe de ses ancêtres », propose la ministre responsable de la Réforme des institutions démocratiques Rita de Santis.

Vers un registre des boules de papier

Si plusieurs personnes partagent son opinion, de nombreux députés ont également fait savoir qu’ils voteront en faveur d’un registre des boules de papier dès la reprise des travaux à l’Assemblée nationale.

« Parce que la vie est plus précieuse que le papier, il faut restreindre l’accès à ces armes sournoises et mettre fin à ce genre de crimes haineux », affirment-ils.

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